Pour une gestion démocratique et transparente.
L’équipe de la Villensemble fait de la transparence dans la gestion des affaires publiques un axe majeur de son identité. Elle seule assure que les décisions politiques prises servent l’intérêt général.
Cette exigence nous oppose aux pratiques du sénateur maire Serge Dassault. Gestion des écoles, des installations sportives, culturelles ou de quartiers, implantation des projets immobiliers, rénovation urbaine, le moins que l’on puisse dire c’est que les Corbeil-Essonnois-ses ne souffrent pas d’être trop associés-es aux décisions.
La gestion opaque d’un seul homme mène inexorablement une commune aux erreurs, aux décisions illégales et au final à des décisions contraires aux intérêts des administrés.
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Avant hier, il aura fallu la détermination d’un préfet pour découvrir que depuis des années, les budgets de la ville étaient tronqués et insincères.
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Hier il aura fallu la clairvoyance de magistrats de la Chambre régionale des comptes pour prévenir que la concession d’aménagement des terrains de la papeterie ne permettait pas au maire de provisionner le budget de la ville, déficitaire, de l’argent d’un prêt très précipité de la maison Bouygues.
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Aujourd’hui il aura fallu que nous soyons destinataires d’une lettre de l’avocat de Serge Dassault et de Jean-Michel Fritz, dans l’affaire aménagement de la papeterie par Bouygues, pour lire que :
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« L’existence d’une telle promesse de vente constitue également un élément à charge de la commune contribuant à la démonstration d’une éventuelle atteinte aux règles de mise en concurrence. »
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« La production du projet d’aménagement ne me semble pas opportune en l’espèce dans la mesure où il fait état de l’existence d’une étude environnementale qui n’a jamais eu lieu. »
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« Comme vous le savez, le classement précipité du site de l’ancienne papeterie de zone AU en zone U est susceptible de faire l’objet de critiques sérieuses et il importe de ne pas aiguiser la curiosité de notre adversaire et du juge sur ce point. »
Chacun comprendra que sur ce dossier comme sur tous les autres, une autre pratique citoyenne s’impose. Non pas au nom d’une idéologie de la participation mais tout simplement parce que l’enjeu d’un projet partagé avec la population sur les 14 ha de la papeterie, ce n’est rien moins que la réussite de la reconstruction pour tous de notre ville sur elle-même.
